Résumé :
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Nous prêtons beaucoup à la nature : la mort, les droits, parfois même les enfants peuvent être qualifiés de «naturels». On l'invoque pour tout et son contraire : tantôt pour réunir et intégrer («tous les goûts sont dans la nature»), tantôt pour dénoncer ce qui serait «contre nature» ; tantôt pour justifier la guerre (la «loi de la jungle» coïnciderait avec «l'état de nature»), tantôt la paix (au nom de la nature sociale de l'homme). Et que dire du présupposé positif à partir duquel on pense d'ordinaire le naturel par opposition à l'artificiel ?... Recueil du textes regroupés en six grandes parties : "Définitions", "la nature, objet de la science nouvelle, "Physique et métaphysique", "L'homme, une exception de la nature", "Droit naturel, droit de la nature", "La valeur de la nature".
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