Résumé :
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Publié en 1939, ce "roman" des "impulsions obscures" est le premier antiroman. Une tentative révolutionnaire pour l'époque. Certains critiques y ont senti l'influence de Virginia Woolf. L'auteur définit ses "tropismes", qu'elle nomme ainsi "faute de mieux", tels des mouvements intimes, instinctifs, comparables aux mouvements de certaines plantes qui se tournent et se détournent de la lumière (c'est le mouvement des tournesols au soleil). Chaque tropisme, numéroté de I à XXIV, se présente comme un petit texte en prose, autonome, de quelques lignes ou de quelques pages.. Ce sont le plus souvent des portraits de scènes de la vie quotidienne, au ton parfois neutre, ironique, voire satirique.
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